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Énigmes

Pastiche fidèle et inspiré  d’une  grande œuvre millénaire et unique .

Précieux témoignage coloré d'une époque et d'une épopée punitive qui vit mourir le parjure , traitre à un Saint Homme selon la légende et l'élévation suprême d'un bâtard qui n'avait pas de prix ,arrachée à son berceau à plusieurs reprises, ayant manqué de peu de finir à la découpe, mêlant à foison bêtes réelles ou fantasmées et hommes , elle (l'œuvre inspiratrice) a longtemps alterné entre confinement et exposition .Revenue aux origines , elle se déploie en toute splendeur dans un théâtre  dédié où l’Histoire s’est inversée cette fois.

Quel est ce pastiche du siècle passé?

 

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12 réponses à cette énigme

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Espérons que je ne vais pas me vautrer comme avec Amanda...

Je pense à Guillaume le bâtard, duc de Normandie, et à la tapisserie de Bayeux.

Toute bande dessinée est un pastiche de la tapisserie de Bayeux.

Est-ce qu'on parle de la copie qui est à Reading ?

 

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Révélation

@ribi l'oeuvre inspirante est bien la Tapisserie de Bayeux,  très fin décryptage. Mais le past.iche : histoire inversée..... 

indice   : les bretons chez astérix et un territoire symbolique   qui fait vraiment  lien avec la Tapisserie 

Révélation

 

 

 

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Révélation

@ribi  tirage  un terme qui ne doit rien au hasard...

              pastiche fidèle =  une BD spécifique

              

              

              

 

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J'ai l'œuvre millénaire, enfin je pense,

 

Révélation

La tapisserie de Bayeux

 

mais je cherche encore le pastiche

Modifié par Jijé

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Révélation

@Jijé  Oui pour la tapisserie...

indice :  une série iconique depuis 1925 dont le pastiche est un élément  ( un indice... mais si, mais si😁)

 

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Révélation

@Jijé @ribi 

Indice “NOS A GULIELMO VICTI VICTORIS PATRIAM LIBERAVIMUS” au fronton d’un cimetière

 Anglais la traduction anglaise de la citation latine :
We, once conquered by William, have now set free Conqueror's nation.

“Nous, autrefois vaincus par Guillaume, avons maintenant libéré la patrie du vainqueur »

 

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Bravo RIBI, sur la référence ci dessous la mise en parallèle   détaillée et très intéressante entre les scènes de la tapisserie (les fils du titre) et la Une du magazine (le tirage)

https://www.arretsurimages.net/articles/d-day-la-tapisserie-du-new-yorker

 

Pour les éléments d'orientation :

la Citation latine :Face au cimetière anglais, se trouve un monument à la mémoire des soldats du Commonwealth tués au cours de la Bataille de Normandie et qui n’ont pas pu avoir de sépulture. Sur le fronton est gravé “NOS A GULIELMO VICTI VICTORIS PATRIAM LIBERAVIMUS” qui signifie “Nous, autrefois vaincus par Guillaume, avons maintenant libéré la patrie du vainqueur”( We, once conquered by William, have now set free Conqueror's nation.)

. Petit clin d’oeil à Guillaume-le-Conquérant, le duc de Normandie devenu Roi d’Angleterre dont la tapisserie raconte l’histoire.
nb : Il est d'usage pour les combattants anglais et apparentés morts au combat d'être enterrés sur place, d'ou de nombreux cimetières anglais en Normandie.

L'illustration : la
Une du NEW YORKER du 15 juillet 1944 , pastichant la Tapisserie de Bayeux ,

Les indices renvoyant à la tapisserie : le Saint Homme c'est Edouard le Confesseur, qui a désigné comme successeur au trône Guillaume, Duc de Normandie, dit le batard (de Robert)par les origines modestes de sa mère. Harold, puissant baron anglais était chargé par Edouard de porter le message à Guillaume, ce qu'il a fait, tout
lui en jurant fidélité sur la bible... a la mort d'Edouard, il prend le trône et propose une indemnisation à Guillaume qui refuse, rassemble une armée, prend la mer avec hommes et chevaux et débarque pour une bataille célèbre, un temps indécise à Hastings en 1066. Harold mourra des suites de ses blessures (une flèche dans l'œil) et ses deux frères mourront aussi à Hastings.
Les nobles saxons n'ont pas accueilli de plein gré ce Roi étranger et au sang pas si noble.
La tapisserie aurait été réalisée sur ordre d'Odon, demi frère de Guillaume, pour la cathédrale de Bayeux (laine colorée, toile de lin, un peu plus de 70 mètres) témoignage d'une époque, elle était tenue dans un coffre et exposée une fois l'an aux fidèles. Déplacée plusieurs fois (y compris pendant la seconde guerre d'ailleurs), elle avait été exposée à Paris sous le Consulat je crois, après avoir manqué de peu d'être débitée en draps pour les charriots de l'armée un peu avant...Aujourd'hui, exposée dans un Musée dédié à Bayeux.

 

 

 

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